Fin du "squelette"
21 Juin 2014
( publié le 17 Novembre 2014 )
Les chevrons (qui soutiennent le toit) n'ont pas été simples à faire : beaucoup de découpes en biais et des trous à percer un peu spéciaux... C'était long mais j'y suis arrivé !
Le "squelette" de la structure est donc enfin achevé. J'ai même fait en apparence un petit peu de zèle puisque j'ai déjà découpé deux supports verticaux pour les fenêtres et le cloisonnement final (les deux "tiges fines" qui ont l'air de flotter dans le vide), c'était nécessaire en fait pour pouvoir poser les pièces correctement coupées (assemblage) sans avoir à retravailler dessus par la suite...
On distingue un petit habitant qui s'imagine déjà dedans, du coup ça se voit bien que c'est une cabane "taille enfant" :
Je tiens bien debout sur la structure (ma tête dépasse pas mal des chevrons) et même en essayant de me balancer, je ne parviens pas à la faire bouger : c'est vraiment solide !
Pour information, vu que la question m'a été posée, toutes les poutres "en biais" sont celles qui empêchent la cabane de pencher, de s'écarter (s'ouvrir comme une fleur ou une banane) et en somme de de se déformer. Les deux barres horizontales comme celle où "l'habitant" se tient dessus ne sont pas présentes de "l'autre côté" parce qu'elles sont là pour renforcer la cloison qui viendra se reposer dessus plus tard.
Ma copine égoïne aura fait toute la structure de la cabane à la seule force de mon bras, et elle en redemande :
On distingue un petit habitant qui s'imagine déjà dedans, du coup ça se voit bien que c'est une cabane "taille enfant" :
Pour information, vu que la question m'a été posée, toutes les poutres "en biais" sont celles qui empêchent la cabane de pencher, de s'écarter (s'ouvrir comme une fleur ou une banane) et en somme de de se déformer. Les deux barres horizontales comme celle où "l'habitant" se tient dessus ne sont pas présentes de "l'autre côté" parce qu'elles sont là pour renforcer la cloison qui viendra se reposer dessus plus tard.
Ma copine égoïne aura fait toute la structure de la cabane à la seule force de mon bras, et elle en redemande :